on mentionnait le pouvoir de Rome

Je commente sur cette page comment les autorités d’un individu ne sont pas certaines d’un gouvernement fiable et assouplissant. La période des affaires romaines n’était pas plus longue que celle de la république romaine. Leurs problèmes internes ont été multipliés, leurs crimes beaucoup plus multipliés. La fierté la plus ridicule, l’adulation la plus vile, la cupidité la plus audacieuse, l’indifférence la plus complète à l’égard de la prospérité fédérale avaient changé l’orgueil du républicanisme, l’héroïsme et les vertus fortes. Exactement, où se trouvait le traitement dans l’hérédité sur le trône? N’était-ce pas considéré comme étant les traditions réputées de la maison d’Auguste? Un Domitien n’était-il pas le fils de Vespasian, un Caligula le garçon de Germanicus, un Commode l’enfant de Marc Aurèle? En France, c’est exact, la dernière dynastie s’est occupée seule de 8 à 100 ans, mais les individus étaient-ils moins tourmentés? Qu’advient-il des dissensions intérieures? Exactement ce que les batailles d’outre-mer ont accompli pour les prétentions et les droits de succession, qui ont donné naissance aux alliances avec cette dynastie avec des pays d’outre-mer du monde entier? Dès lors que la nation épouse les goûts et dégoûts spécifiques d’un ménage, elle est motivée pour s’impliquer dans une multitude de questions qui, pour elle aussi, peuvent paraître extrêmement indifférentes. Certes, nous avons rarement réussi à mettre en place une république parmi nous, malgré ce que nous avons essayé sous différentes formes, fondamentalement démocratiques. Après la sérénité d’Amiens, Napoléon avait le choix entre les techniques républicaine et monarchique; il pouvait faire ce qu’il voulait. Il aurait peut-être néanmoins rencontré la moindre opposition. La citadelle de la liberté lui fut confiée; il a juré de le protéger; et, tenant sa promesse, il doit avoir satisfait au besoin de la terre qui le jugeait par lui-même efficace pour résoudre de manière substantielle le fantastique problème de la liberté publique. Il aurait pu l’inclure lui-même en ayant une gloire incomparable. Plutôt que cela, que fait-on précisément aujourd’hui? Ils suggèrent d’aider à faire de lui un lieu de résidence total et héréditaire de votre excellent potentiel qu’il est nommé administrateur. Serait-ce le véritable désir et l’intérêt réel du premier consul lui-même? Je n’y crois vraiment pas. Il est vrai que leur état était en train de s’effondrer et cet absolutisme l’a tiré de la frange de l’abîme. Mais que déterminons-nous exactement à partir de cela? Ce que toute la planète sait, le physique des gouvernements est sujet à des affections qui ne peuvent être traitées que par des remèdes agressifs; que parfois un dictateur est essentiel pour un moment seulement pour conserver la liberté. Les Romains, qui en avaient été si jaloux, ont néanmoins reconnu la nécessité de ce pouvoir suprême par intervalles. Mais parce qu’une solution brutale a préservé un patient, faut-il y décrire une gestion quotidienne de solutions agressives? Fabius, Cincinnatus, Camillus ont préservé Rome grâce à un entraînement de force complète, mais ils ont néanmoins renoncé à ce potentiel dès que possible; ils auront anéanti Rome, ils ont continué à le manier. César était le premier à vouloir garder ce pouvoir: il en avait fait le patient, mais la liberté était mal placée pour l’avenir. Par conséquent, tout ce qui a été mentionné à ce jour dans le gouvernement définitif montre simplement la nécessité de dictatures tempo- raires dans les crises, mais pas l’organisation d’un pouvoir durable et imprudent.

un vol complètement fou

Pour autant que je le sache, j’ai toujours été fasciné par les avions de chasse. Je me souviens que lorsque j’étais enfant, mes copains avaient toujours dans leurs poches leurs petites voitures. Ils en avaient tellement qu’ils pouvaient simuler des embouteillages. Moi, il n’y avait que les avions de chasse. Toutes les étagères de ma chambre. L’un d’eux en particulier ne me quittait jamais. Et quand mes amis proposaient de jouer avec leurs petites voitures, je les regardais d’un oeil torve avant de retourner jouer dans mon coin. J’étais déjà très diplomate, à l’époque. :’) J’ai appris à être plus sociable, mais cette tendresse-là n’a pas changé. Et mes petits avions sont désormais dans les poches de mon fils. Il était donc certain qu’un jour, je découvre ce qu’on ressent dans ces appareils. Et c’est ce que j’ai fait dernièrement, à l’occasion d’un vol en Mirage. Ca faisait si longtemps que j’imaginais ce moment que j’étais à moitié persuadé que le vol serait une cruelle déception. De descendre de l’appareil et de me dire que c’était juste un rollercoaster amélioré. Mais ça ne s’est pas passé comme ça que ça s’est passé. Lorsque j’ai retrouvé le plancher des vaches, je ne pensais à rien : un sourire idiot était plaqué sur mon visage. Et rien que d’y penser, vol en avion de chasse je le sens revenir sur mon visage tandis que j’écris. Cette expérience était encore plus démente que tout ce que j’avais pu imaginer. Il y a des moments où je dois bien admettre que j’ai dû lutter pour ne pas céder à la panique. Je comprends désormais pourquoi ça a été un calvaire pour trouver des retours d’expérience sur le sujet sur le web. Avec le recul, il est clair que je serais incapable de vous décrire cette expérience en détail. Ce qu’on ressent au moment où on passe son uniforme de vol. Lorsqu’on prend place à bord du cockpit. Et lorsque, au premier break, on sent soudain son poids multiplié par 6. Il n’y a pas de mots pour raconter de tels moments. Mais il fallait quand même que je le crie haut et fort. Ce serait tout de même un comble de publier la photo du plat qu’on va manger sur les réseaux sociaux dès qu’on sort au restaurant, et de se taire quand on a fait un vol en L-39 ! En savoir plus en suivant le lien sur le site de l’organisateur de ce vol en avion de chasse.

Vivre dans une bulle sociale

Rassembler la formule de l’algorithme loin de mon odeur a été beaucoup plus facile après que je me suis assuré de l’aide d’autres ensembles de règles. Je l’ai fait en utilisant un appareil appelé Noisify, qui remplit sa discothèque de recherche Fb avec des termes arbitraires. Cathy Deng, un développeur basé à San Francisco, a construit Noisify à l’issue de la sélection de 2016, lorsque les gens qu’elle a compris semblaient obsédés par la politique « filtrer les bulles ». « Il croit vraiment être très restrictif, » Le monde entier est là pour cet axe du vs.-convenable, ‘? « elle m’a informé. «La façon dont je l’avais vécue était la suivante: la planète est tellement meilleure que celle-là.» L’installation de Noisify a suralimenté ma quête de la nouveauté. L’appareil m’a donné l’instruction aux bords de Fb qui pensent que les mini-vacances font face aux assauts normaux des mises à jour de la vie et des informations politiques: pages Web consacrées aux droits légaux de résidence intellectuelle, objets accessibles dans la petite ville du Maryland, et aussi la 20e Virgil Fox, organiste du siècle dernier. Cette méthode d’exploration peut également fonctionner sur d’autres plateformes de médias sociaux. Crystal Abidin, une anthropologue qui étudie les coutumes sur le Web, déclare: «Chaque mois, je me fie à divers comptes de crédit, parfois liés à un pays ou à un marché spécifique, ou à la douane, sur Instagram, dans le but de modifier me nourrir. »Pour obtenir la même influence sur Youtube. com, elle va trop regarder des leçons vidéo aléatoires. Abidin recherche normalement des fonctions d’étude, et elle aimerait pouvoir interroger un large éventail de scènes informatisées plutôt que la découpe que les programmes de multimédia social adaptent à ses qualités personnelles. Elle découvre qu’il est utile de parcourir les images sur Instagram avec des hashtags «qui ne sont fondamentalement pas trop pratiques, car ils contiennent trop d’archives archivées», comme #china ou #infants. Elle a déclaré que c’était «ahurissant, parfois amusant, mais aussi tout à fait alarmant qu’il y ait une telle possibilité que je ne puisse en aucune façon être capable d’apprendre».

J’ai survolé le monde

Aujourd’hui, je vous propose aujourd’hui une escapade homérique que j’ai faite. Cet été, j’ai en effet expérimenté une activité qui me poursuit. J’ai en effet vu la terre sous un angle différent à l’occasion d’un vol en montgolfière. Si vous êtes intéressé par LINK, veuillez consulter notre page Web. Mon fabuleuse aventure s’est passée à Nantes, et les images qui ont marqué cette journée me reviennent souvent en mémoire. Je repense à ce matin, quand j’attendais dans un pré , alors que l’aérostier s’activait pour donner forme au ballon. Le soleil n’était pas encore visible et mes amis et moi nous regardions, étonnés d’être là. Enfin nous avons pu embarquer dans la nacelle et profiter de la douce chaleur du brûleur. Mais je revois surtout cette minute prodigieux où notre nacelle a enfin quitté le sol sans le moindre à-coup. La terre, que nous avons tellement habitué à fouler qu’on ne la regarde plus, s’est alors révélée sous un angle différent. Dans Le cercle des poètes disparus que j’aime beaucoup, quand le professeur Keating saute sur son bureau et explique qu’il faut savoir regarder sous un angle différent. C’est précisément ce à quoi servait ce vol en montgolfière, au final : un moyen d’observer le monde d’un point de vue différent. Et différent, je peux vous assurer qu’il l’est, pour peu qu’on le contemple depuis son balcon de rotin ! L’expérience n’a rien à voir avec le fait d’admirer le monde depuis depuis la verrière d’un petit avion. A bord d’une montgolfière, il n’y a pas de barrière pour vous séparer du monde. Vous n’êtes pas comme un poisson dans un bocal. Là, vous pouvez sentir le vent sur votre peau, humer l’air frais, admirer le monde qui se rehausse d’or pendant que le soleil se lève. . Cette aventure s’est déroulé il y a de ça plusieurs mois mais j’y repense régulièrement, quand je perds mon temps dans les bouchons. Ce vol en montgolfière est devenu une façon de prendre de la distance face aux petits tracas qui pimentent le quotidien. Une véritable bouffée d’air frais dont les effets perdurentSi l’occasion se présente un jour, je vous recommande chaudement d’essayer !

Connaissez-vous les avions fantômes ?

Montrose est devenu le premier aérodrome fonctionnel de Grande-Bretagne dès l’arrivée du 2 e Escadron du Royal Travelling Corps en 1913. C’est le destin d’un pilote de cet escadron particulier qui offre à l’avion Angus sa place dans la communauté paranormale. Le lieutenant Desmond Arthur, de Area Limerick en Irlande, voyageait par avion sur l’aérodrome dans un biplan BE.2 lorsqu’il a eu des problèmes désastreux pour l’aile. L’aéronef s’est brisé et Arthur s’est échappé du matériel, faisant un mort. Quelques années plus tard, au milieu de la première guerre mondiale, un certain nombre d’officiels commencèrent à se rendre au début près du feu avec leurs dortoirs ou près de l’épave des officiers, mais ils disparurent étrangement. L’observation s’appellera de plus en plus l’apparition irlandaise, puisqu’un visiteur du site Web reconnaîtra le fantôme comme étant Arthur. En 1963, Sir Peter Masefield, un physique respecté qui a contribué à la création de l’aviation britannique, a probablement noté l’expérience la plus étrange. Il a raconté comment il devait se rendre au sud de Moray Firth dans son Chipmunk lorsqu’un aviateur communiquant avec l’irlandais, vêtu de vieux vêtements de voyage, Encyclopédie des avions a demandé une amélioration. Mase-discipline a décollé et s’est dirigé vers le sud, sa personne étant restée silencieuse pendant tout le voyage. Leur choix les a obligés à se trouver à proximité de Montrose et c’est là qu’un biplan est apparu. Masefield le regarda avec horreur depuis que l’avion s’était détaché de l’atmosphère et plongé dans la direction du terrain, le pilote tombant totalement libre, ses biceps et ses triceps, ainsi que ses hanches et ses jambes battant de manière espiègle. Masefield observa un gémissement sur le siège arrière. Il a cherché circulaire pour trouver la chaise vide, Les breves aero son voyageur enlevé. Il a atterri immédiatement à l’aérodrome de Montrose. Aucun n’a été vu par cet autre avion. Le compte de Masefield a été affiché juste avant Noël et il ne s’agissait pas vraiment d’un profil réel de votre véritable événement ou de l’histoire de Yuletide Ghost… Vol 401 En 1972, un avion de ligne à fuselage large de la Eastern Airlines Lockheed L-1011 s’est écrasé les Everglades Fl. L’accident a tué 101 voyageurs et membres d’équipage. L’histoire aurait probablement pris fin là où il n’y en avait pas pour des situations inhabituelles à partir de quelques mois. Les membres d’équipage et les voyageurs sur d’autres vols de l’Est ont signalé avoir vu et parlé à deux agents de bord vêtus d’uniformes de l’Est. Ces personnes étaient connues sous le nom de capitaine Bob Loft et de mécanicien navigant Wear Repo… ces deux personnes expérimentées sont décédées dans l’accident. Il y a eu beaucoup d’autres observations depuis le tournage. Certains témoins ont remarqué que les personnages disparaissaient devant leurs yeux. Les spectres avaient été principalement retrouvés sur des avions qui avaient réutilisé des éléments récupérés de l’avion du 401. L’Orient a dénoncé les observations, mais a éliminé les pièces de rechange, de sorte que, aussi mystérieusement qu’elles aient été commencées, les observations ont été interrompues.

Séminaire aéronautique: comprendre pourquoi le Rafale ne se vend pas

La France a réagi avec mesure au choix effectué par la Belgique de s’équiper du F-35 au détriment de l’Eurofighter et du Rafale. Le président français Emmanuel Macron a déploré vendredi la décision de la Belgique d’acheter des avions de combat américains plutôt qu’européens. « Je regrette le choix fait. Il n’y avait pas que l’offre du Rafale, il y avait aussi l’Eurofighter, une vraie offre européenne. La décision est liée à une procédure belge, à des contraintes politiques du pays mais stratégiquement va a contrario des intérêts européens », a déclaré le Président Macron à Bratislava. Réponse à fleuret moucheté de la part du Premier ministre belge. « Il n’y a pas eu d’offre française, il y a eu une proposition qui ne correspondait pas aux critères de la procédure », a précisé Charles Michel, regrettant que le gouvernement français n’ait pas spécifié le prix de l’avion proposé. « Quand j’achète une voiture, avant qu’il y ait le bon de commande je veux savoir quel est le prix, ici nous ne le savons pas », a-t-il conclut en rappelant que d’autres pays ont également choisi l’appareil américain, « ce qui n’a donc rien d’extraordinaire ». Le Président Macron a quant à lui rappelé sa détermination à tout faire pour que les appels d’offres européens en matière de Défense soient remportés par des entreprises européennes. Un appel quand même partiellement entendu par la Belgique qui a commandé 442 blindés pour 1,6 milliards d’euros à la France. Airbus, à qui la Belgique a acheté ces dernières années des A-400M, des NH-90 et un MRTT, a fait part de ses regrets et de son respect pour la décision souveraine de la Belgique. Le constructeur a rappelé les atouts de son offre autour de l’Eurofighter qui aurait rapporté plus de 19 milliards d’euros de contributions directes à l’économie belge et a souligné que son offre de partenariat aurait mis la Belgique sur le chemin du futur système de combat aérien franco-allemand (SCAF). Il s’agit donc « d’une occasion manquée de renforcer la coopération industrielle européenne au moment où l’Union Européenne est appelée à intensifier ses efforts en matière de défense », conclut Airbus. Dassault Aviation a pour sa part déclaré ne pas être « surprise par cette décision du gouvernement belge dont la préférence de certains acteurs pour le F-35 est manifeste depuis longtemps ». L’avionneur français a également rappelé que l’offre globale de la France aurait apporté à la Belgique « un retour économique et sociétal dans les domaines de la haute technologie, évalué à 20 milliards d’euros sur 20 ans ». « Le choix du F-35 est un mauvais signal pour la construction de l’Europe de la défense. Une fois encore, nous constatons une préférence américaine en Europe», a conclu Dassault. Plus d’infos sur ce vol en avion de chasse en suivant le lien.

Qui contrôle l’information

A la base, c’est un projet journalistique, lancé par l’équipe de Bastamag. Assez rapidement, on s’est dit qu’il y avait besoin d’un outil de rassemblement et de synthèse de l’information sur les multinationales françaises, qui puisse servir à tout le monde, aux autres journalistes comme aux citoyens. Le principe, c’est à la fois un travail de veille sur le lobbying, la finance, et un travail d’enquête.  Quelles sont les spécificités du travail d’enquête dans ce milieu-là ? La difficulté, c’est que tout est fait pour que les multinationales contrôlent l’information qui les concerne. Elles le font grâce à leurs chargés de communication et leurs services de presse. En France, il y a environ un journaliste pour dix communicants. Ensuite, il y a les clauses de confidentialités qui verrouillent l’information, en incitant les salariés à ne pas parler. Il y a une culture de l’omerta. Les multinationales peuvent aussi jouer sur la confusion : par exemple, une entreprise comme Total va développer tout un arsenal de discours pour détourner les accusations de pollution, en mettant l’accent sur des initiatives vertes pour faire diversion. C’est une autre manière de contrôler l’information. Et en dernier recours, il y a les poursuites judiciaires contre les salariés, les lanceurs d’alerte, etc.  Que va changer la nouvelle loi sur le secret des affaires ?  Reste à voir comment cela va être appliqué. Mais c’est potentiellement une nouvelle arme de dissuasion massive pour les multinationales dans la bataille pour l’information. Ce n’est pas un hasard qu’elle soit adoptée maintenant, après tous les scandales récents, sur l’optimisation fiscale par exemple.  Justement, les scandales récents ont montré que les firmes étant transnationales, cela suppose un travail de coopération entre des médias de différents pays. C’est quelque chose de nouveau.  Oui, le travail de coopération est important. Les masses de données à exploiter sont énormes. Même à l’état actuel, les Panama Papers doivent encore receler des « trésors », et il y a encore des gens qui travaillent à temps plein dessus. L’enjeu est mondial, c’est normal qu’on en arrive à des enquêtes et scoops internationaux.

Quand Space X dépassera Arianne Espace

Elon Musks’s Area By, la société aérospatiale privée, a mis au point 60 satellites de petite taille ces jours-ci, marquant une étape importante pour le système mondial Starlink de l’entrepreneur milliardaire, axé sur l’espace. Une fusée Location X Falcon 9 dont les satellites, qui pèsent chacun environ 230 kg ou 36 pierres précieuses, s’est éloignée d’une base aérienne de Fl aux environs de 3h30 du matin, heure britannique. Le créateur de Tesla, Musk, considère Starlink comme une entreprise générant de l’argent pour aider à payer les plus grands désirs de sa société, Agence Seminaire Entreprise en particulier la colonisation de Mars. Il a expliqué que pas moins de 12 lancements relâchant une variété de satellites liés sur l’orbite terrestre inférieure seraient nécessaires pour alimenter le World Wide Web dans le monde entier. Le coup d’envoi de ce matin est apparu peu après deux levées pour libérer les satellites qui avaient été annulées pour des raisons liées à la maintenance du logiciel. Aujourd’hui, Place X a tweeté les informations des satellites: «La conception et le style des cartes toniques de Starlink permettent à une pile épaisse de tirer parti de la fonctionnalité de publication de Falcon 9.» Il explique que ses satellites comprennent «une variété alimentée par l’énergie solaire au lieu de deux, ce qui diminue les perspectives d’échec ». Une collection solaire est un petit groupe de systèmes de panneaux solaires utilisés pour l’énergie. L’activité de Musk a déclaré: « Starlink reliera le monde aux services professionnels Internet haut débit réputés et abordables. » Space X fait partie des sociétés qui luttent pour la domination du secteur spatial. Light Blue Source et Place X du milliardaire en ligne Amazon de Jeff Bezos sont des nouveaux venus comparables dans l’industrie, qui regroupe des athlètes établis tels que Boeing et United Start Alliance (ULA) de Lockheed Martin. Le lancement aura lieu tous les jours après qu’il a été déclaré que Musk’s Space possédait une lourde responsabilité américaine. Air flow Push enfreignait les règles du contrat lorsqu’elle avait rendu l’estimation de la société pour de l’argent qui avait été attribué à 3 fabricants de fusées. La salle X a demandé aux tribunaux américains de rouvrir la procédure d’appel d’offres, d’un montant de 2,3 milliards de dollars, déclarant que les contrats avaient été accordés à des systèmes de fusées «non construits et non survendus» qui ne seraient pas tous réglés avec le temps afin de répondre aux besoins du gouvernement.

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Ils veulent aller en Syrie

Vous pouvez trouver un certain nombre de formes majeures de personnes en Amérique combattant sur une pelouse en Syrie: causes spécifiques: soldats, courtiers de la CIA, extrémistes islamiques et anarchistes. Alors que je faisais du bateau à moteur sur le Tigre, un soir de mai 2018, je ne sais pas lequel de ceux-ci, le cas échéant, je vais expérimenter dans les jours à venir. Le Pentagone m’avait dit auparavant que je ne pouvais pas me joindre à ses troupes; la CIA n’accepte pas ouvertement de posséder quelque chose qui a un rapport avec la Syrie; les extrémistes seraient heureux de me voir mort; et les anarchistes se gardent généralement de dénoncer les autorités qu’ils combattent dans la région étrangère. Je débarque avec quelques habitants de la région et monte une pente graveleuse vers votre petite cabane. L’Irak, dont je viens tout juste de naître, se trouve du côté opposé de la rivière. La volaille n’est pas loin en amont. Un homme utilisant un contrat froissé et ensoleillé, ainsi qu’un AK-47 demande nos propres passeports. Je n’ai pas de visa Quatre semaines après avoir envoyé mon application pour une seule fois, le gouvernement syrien a tombé une bombe de substance chimique sur le bâtiment de Ghouta, à l’extérieur de la maison de Damas. Le U. N. a déclaré avoir assassiné 49 civils, dont 11 jeunes enfants. Alors que j’attendais une décision, le président Donald Trump a tweeté que le chef de la direction syrienne Bashar al-Assad – «Animal Assad» – paierait un «gros prix» pour votre attaque. Moins d’une semaine plus tard, les États-Unis, la Grande-Bretagne et la France ont bombardé un certain nombre de complexes d’études et d’armées. L’ambassade de Syrie à Beyrouth m’envoya rapidement après: «Nous tenons à vous informer que la demande de visa a été rejetée en raison du manque d’objectivité dans les études approchant de la tourmente syrienne.» Mais ce poste frontière n’est pas géré par les autorités d’Assad. Il est géré par Syrian Democratic Causes, une alliance de milices garanties par les États-Unis et la Coalition mondiale pour vaincre l’Etat islamique. Le SDF gère actuellement environ 25% de la Syrie, une région appelée Fédération démocratique de la Haute Syrie. La région comprend en grande partie des régions arabes, ainsi que de nombreux endroits de la place Rojava, principalement kurde. Une bonne partie des quelque 2 000 soldats américains affectés à des procédures chirurgicales uniques sont basés dans la région et sont répartis dans une douzaine de bases. Depuis que le bouclier de protection kurde et l’AK parcourent mon passeport, son expérience s’éclaire. « Es-tu Américain? » Demande-t-il. «Tu es saint pour nous! Le peuple kurde aime les Américains! »Il allume une cigarette et tire les ficelles. « Si cela dépendait de nous, nous ne permettons pas aux Américains de partir », affirme-t-il. « Ils continueraient à être dans cet article pendant un long moment. » Il me montre parfois des troupes turques qui utilisent des mortiers à la cheminée, de petits rappels des éléments attend si les facteurs américains se retirent. «Est-ce qu’ils vont nous garder?» Me demande un autre homme. Il est arabe. «Ce n’est pas limpide», dis-je seulement. Cinq semaines auparavant, Trump avait déclaré qu’il retirait «très bientôt» toutes les troupes américaines de la Syrie, mais il avait repris sa déclaration quelques jours après. Cela ne finirait pas par être la même chose avant. «Peut-être qu’ils vont probablement partir», affirme l’homme arabe. «Non!» S’exclame le bouclier ridé de la frontière. «Nous avons des huiles, beaucoup de gaz», dit l’Arabe. « Laissons-les garder et considérer le gaz. » « Si nous et des organisations américaines – pas des entreprises russes! – émergeaient et enquêtaient sur les lieux, elles trouveraient beaucoup plus de pétrole que l’Irak », affirme le Kurde. «Il y a du pétrole, il y a du gaz, il y a du phosphore, tout ce que vous voulez!» Un choeur d’oiseaux monte en même temps que le chauffage diminue. «Nous faisons quoi que la coalition nous informe de mener à bien. Plus précisément! Sans la coalition, nous ne serions pas dans cet article. »Assad, Turquie, que reste-t-il de votre État islamique et de nombreuses organisations rebelles armées et habiles par la CIA souhaitent-elles voir la version finale? avec ce territoire séparatiste. «Si quelqu’un te protège, ne vas-tu pas lui donner ton style de vie et celui de tes enfants? C’est la législation de l’univers, mon frère. »Cela fait déjà 9 ans que j’ai été final en Syrie. J’avais dépensé chaque année plus une moitié ici, tout d’abord à faire de la recherche en arabe à Damas, puis à utiliser la région comme fondation pour moi comme je commençais à être reporter. Je me souviens comment, en 2009, mes amis syriens rêvaient d’éliminer le dictateur et ses forces de l’ordre secrètes, mais personne n’aurait pu imaginer que le printemps arabe viendrait deux ans après. Il s’est répandu en Syrie, mais Assad n’est pas parti. La révolte contre le programme s’est transformée en guerre civile et pratiquement toutes les personnes que j’ai comprises ont fui le continent. Certains se sont retrouvés en Europe et en Amérique du Sud, d’autres au Liban et en Turquie. Je suis retourné au Moyen-Orient dès 2014 pour voir de bons amis qui se seraient révélés être des réfugiés. J’ai composé en ce qui concerne ce qui s’était passé dans leur communauté, dans laquelle la routine était des hommes et des femmes affamés à perdre la vie.

Quelle mission étrangère américaine

Dans l’espace principal des opérations du cœur de la lutte contre le terrorisme national, le mouvement des détails entrants ne cesse jamais. Les professionnels du gouvernement fédéral se reposent devant leurs ordinateurs clignotants, tous confrontés à de grands écrans d’affichage pour la télévision, réglés sur des itinéraires de reportage. « Chaque jour, 10 000 enregistrements nous tombent sur le cœur et les yeux sont placés sur chacun de ceux-ci », a déclaré Russ Travers, directeur adjoint du centre, après avoir été sur cette page, de temps en temps, car il a été reconnu 16 ans depuis. « Vous pouvez trouver dans les environs de 16 000 titres dans ces informations et faits. Nous devons traiter tout cela », at-il ajouté. Le combat des États-Unis contre le terrorisme se trouve à un tournant décisif. Plus de 17 ans après les frappes d’Al-Qaida en 2001, cette classe n’est plus aussi puissante qu’elle. Avec le statut islamique a perdu son territoire central. Indépendamment de ces You.S. réalisations, une foule de risques changeants restent. Alors, à quoi devrait ressembler l’effort américain? Travers est instinctivement prudent, comme quelqu’un qui a commencé sa carrière dans le renseignement dans l’armée il y a 40 ans. « Après le 11 septembre, nous avons décrit cela comme une génération en difficulté. Je pense néanmoins que c’est le cas », a-t-il expliqué. Au cours de cette génération précédente, le You.S. a dirigé beaucoup de troupes dans un autre pays et créé un système énorme chez vous pour lutter contre le terrorisme. Certains téléphonent pour toute réévaluation, y compris le directeur Trump, qui affirme qu’il est vraiment temps pour vous de ramener des troupes chez vous en provenance de Syrie et d’Afghanistan. Peter Bergen, analyste chez New United States, considère l’aquarium, reconnaît que le coût est élevé, que certaines parties de votre programme sont obsolètes et que les résultats sont déjà irréguliers. Mais il affirme le You.S. est une position moins dangereuse ces jours-ci. « Le 11/9, ces personnes comptaient 16 personnes sur la liste des vols interdits. Aujourd’hui, ils sont peut-être 81 000. Le 11/9, il n’y avait pas d’administration de la sécurité des transports. Frustrant que vous puissiez obtenir le TSA, ce qui est un moyen de dissuasion assez important , » il a déclaré. Il comprend la tentation de retirer les troupes des conflits de longue date, mais dit que cela comporte des risques. « Nous avons déjà utilisé cette bande vidéo de plusieurs manières différentes. Si les États-Unis sont absents de ces États faibles, ils peuvent se transformer en États défaillants » vulnérables aux groupes terroristes « , a-t-il déclaré. Les mesures les plus efficaces prises par l’armée américaine au cours des deux dernières années ont généralement concerné « une empreinte quelque peu minime sur les procédures chirurgicales uniques, dans laquelle ces groupes assistent les forces de voisinage », at-il ajouté. Le You.S. n’est pas touché par une principale invasion terroriste de l’étranger depuis 2001. C’est un objectif particulier du You.S. déploie de plus en plus la question de la sécurité face à de grandes rivalités potentielles, comme celles avec la Chine et la Russie, et loin de la lutte antiterroriste Cependant, des difficultés subsistent, comme lutter contre la grande idéologie islamiste qui permet de continuer à recruter de nouvelles recrues.